Éloge de la folie ; suivi de la Lettre d'Érasme à Dorpius
Résumé
La folie, cette maîtresse des passions si dangereuse pour l'âme, ensorceleuse dénigrée par tant de générations de philosophes et d'esprits religieux, est ici transformée en bienfaitrice de l'humanité... Une bien grande ambition de la part d'un humaniste certainement avant-gardiste, voire visionnaire.
Lu par :
Françoise Dufour
Genre littéraire:
Philosophie/religion/spiritualité
Mots-clés:
Philosophie
/
Durée:
7h. 26min.
Édition:
Paris, Flammarion, 2002
Numéro du livre:
12221
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782081218123
Collection(s):
Le Monde de la philosophie
CDU:
100
Documents similaires
Lu par : AVH
Durée : 2h. 57min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68771
Résumé:Dialogue entre un philosophe et une artiste, ce livre propose une double méditation par des mots, par des images sur les âges de la vie et les expériences cruciales de l'humanité. L'ouvrage se compose de douze chapitres, qui sont comme autant d'étapes qui rythment notre vie, dans ce qu'elle a de plus intime et de plus quotidien. En somme, c'est un livre qui aide à penser la vie au plus près, pour la vivre mieux.
Lu par : Jacqueline Chossière
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 68776
Résumé:La peur gagne. Peur du chômage, peur de l'insécurité, peur des immigrés, peur du changement climatique... Rien de plus humain que d'avoir peur lorsqu'on est face à un danger. Rien n'est pourtant plus utile et dangereux que l'instrumentalisation de nos peurs. Rappelons Machiavel : la peur est propice au pouvoir. Mais le pouvoir peut-il éradiquer nos peurs ? Ne contribue-t-il pas aussi à les propager ? En analysant les différents visages de nos peurs ( des peurs de notre enfance jusqu'à celle de la mort en passant par la peur au travail ), Michela Marzano scrute l'une des émotions les plus répandues de nos sociétés contemporaines et pourtant l'une des moins étudiées. Elle nous invite à redécouvrir la vertu de la confiance qui, sans nous mettre à l'abri de l'inconnu ou de l'imprévu, nous permet en même temps d'aller vers les autres et de renouer avec notre propre altérité.
Lu par : Marie-Christine Mével
Durée : 4h. 1min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 76849
Résumé:« C’est beau ». En trois mots, tout est dit. Devant un paysage comme devant un tableau, les mêmes trois mots. Que veulent-ils dire ? Qu’expriment-ils : un plaisir, une préférence, une appréciation culturelle ? Et si c’était tout cela à la fois et bien plus encore ? Et si la beauté, notre capacité à la voir, à la sentir et à l’entendre, était la manière singulière et profonde que nous avons d’être vivants, sur cette Terre ? Au fil d’une trentaine de textes lumineux, mettant en scène ses propres expériences esthétiques, Laurence Devillairs tente d’élucider le mystère de la rencontre avec la beauté et nous invite à réapprendre à voir le beau, qui nous échappe souvent par manque de temps ou conformisme. Elle propose pour cela des « exercices d’esthétiques appliqués » - tenter d’apprécier ce qu’on n’aime pas, voyager comme Bouvier sans attentes ni plans, accomplir non pas une bonne action mais un beau geste. Le jeu en vaut la chandelle ; qu’elle soit naturelle, créée ou bien même morale, la beauté nous fait une grande promesse, celle d’être émerveillés, changés et d’exister de façon plus accomplie.
Lu par : J.Claude Durac et J P Gauthier
Durée : 17h. 29min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 25723
Résumé:Une histoire de la philosophie des origines à nos jours.
Lu par : Alain Maillard
Durée : 4h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14553
Résumé:Présentation de l'éditeur : La construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation. Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettre entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14489
Résumé:Présentation de l'éditeur : « Le point de départ de ce livre est une conférence dans laquelle j'ai présenté à un large public les points essentiels de mon livre, Apprendre à vivre. On y trouvera une réflexion sur ce qu'est la philosophie, sur ce qu'elle peut nous apporter en termes de sagesse pratique, sur les temps forts qui ont marqué son histoire. J'y développe l'idée selon laquelle les grandes philosophies sont, pour l'essentiel, des doctrines du salut sans Dieu, des tentatives de nous sauver des peurs qui nous empêchent de parvenir à une vie bonne, sans l'aide de la foi ni le recours à un Être suprême...» L. F.
Lu par : Wanda Asnar
Durée : 7h. 16min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 71328
Résumé:La Rhétorique d’Aristote est considérée encore aujourd’hui comme le texte fondateur de la discipline. Cicéron, Quintilien, Perelman ou Habermas, pour n’en citer que quelques-uns, sont tous ses héritiers. Pourtant, il existe peu de commentaires philosophiques qui s’attachent à rendre compte de cette œuvre dans son intégralité. C’est cette lacune que vient combler ce livre. L’ambition poursuivie n’est pas d’offrir un commentaire littéral, ni une paraphrase du texte d’Aristote, mais de comprendre les questions qu’il cherche à traiter et à harmoniser en un tout cohérent, qui est ce qu’on appelle aujourd’hui la rhétorique. Celle-ci est-elle une branche de l’éthique ou de la politique? Est-elle plutôt raisonnement et argumentation, ou est-elle avant tout discours littéraire, fait de figures de style, ce qui va de l’épopée à la tragédie? De plus, qu’est-ce que persuader et comment le discours y parvient-il? Trois livres composent la Rhétorique, qui semblent à la fois se compléter et parfois se contredire. Michel Meyer démontre, dans son analyse, que l’entreprise est plus cohérente qu’il n’y paraît, malgré certaines ambiguïtés chez Aristote lui-même. Cette approche nouvelle de l’œuvre d’Aristote est enracinée dans la théorie du questionnement (la problématologie), développée par Michel Meyer depuis plusieurs décennies et permet de restituer à la Rhétorique toute sa cohérence et sa fécondité actuelle.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 17h. 4min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 36821
Résumé:Interroger le fanatisme de la vérité qui gouverne la philosophie, reconnaître la vie seule pour source de toute valeur, l'indépendance pour la vertu suprême du philosophe, et rechercher une réconciliation inédite de l'art et de la science : tel est pour Nietzsche le sens du gai savoir, de l'a idée provençale de "gaya scienza", cette unité du troubadour, du chevalier et de l'esprit libre par laquelle cette magnifique culture ancienne des Provençaux se distingue de toutes les cultures équivoques". Unité de l'amor fati et de la philosophie de Dionysos, le gai savoir est la philosophie du oui à la vie, engendrée par la reconnaissance et l'aquiescement, qui culmine dans la pensée de l'éternel retour, présentée ici pour la première fois. Le Gai Savoir, publié en 1882, réédité et augmenté en 1887, constitue donc le prélude de Ainsi parlait Zarathoustra. "Je mets au rang des choses que je n'oublierai pas le fait qu'on m'a envoyé pour ce livre du "gai saber" plus de félicitations que pour tous les autres réunis. "
Lu par : André Cortessis
Durée : 5h. 47min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 38592
Résumé:"Je rêve d'un itinéraire qui m'apprenne à danser, à me départir de la dictature du on, pour progresser vers une complète déprise de soi. L'homme qui écrit ces lignes, pourquoi le cacher, a sombré au fin fond d'une addiction qui a bien failli le perdre. Dans son errance, il s'est souvent cassé la figure contre d'inefficaces injonctions, toujours cette orthopédie mentale, cette camisole de force qu'on voudrait refiler à celui qui révèle notre impuissance. A bout, il a dû emprunter des voies peu fréquentées et, pour tout dire, pas très orthodoxes. D'où le carnet de route qui suit, sorte de récit clinique, de tentatives de trouver un équilibre. . . C'est que la grande santé ne saurait être créée in vitro. Elle se vit, elle s'expérimente, elle s'incarne dans des êtres de chair, de larmes, de pulsions et de joies. C'est cette aventure que je m'apprête à retracer, convaincu que le philosophe ne plane pas en dehors de la cité, dans le ciel des idées, mais qu'il s'assigne pour tâche de traverser les tourments d'une vie, de scruter ce qui met en échec sa volonté et le tire vers le bas, d'aider tout un chacun à ne plus craindre le chaos pour l'habiter, allègrement". Ce voyage au fin fond de la dépendance, cette invitation au gai acquiescement de soi emprunte deux versants. Sous la forme d'un traité, sont explorées les voies qui conduisent à la grande santé, au joyeux dire oui. En contrepoint, dans des fragments, une autre voix se donne à entendre. A la troisième personne, lointaine et pourtant si intime, l'auteur narre sa singulière quête de liberté en plein chaos. Chemin faisant, Alexandre Jollien nous livre un carnet de route, un véritable traité de déculpabilisation. Cet essai de philosophie pratique dessine un lumineux art de vivre surgi du fond du fond.
Lu par : Eric Dubois
Durée : 7h. 5min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 8112
Résumé:Savions-nous que presque tous nos philosophes endurèrent l'exil, la prison, l'interdit ou la condamnation, une forme d'exclusion ? Qu'ils refusèrent, avec courage, de se plier aux idées dominantes ? Qu'ils s'exposèrent à mille risques pour garder leur liberté de penser ? Que leurs vies, aussi diverses que parallèles, garantissent l'authenticité de leurs écrits ?
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 54min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 18972
Résumé:Au fil de la centaine de pages que compte le premier livre des Entretiens, Épictète esquisse le portrait du stoïcien accompli, c'est-à-dire celui de l'homme heureux. Dans ces réflexions, venant compléter le célèbre Manuel traduit dans cette même collection, cet ancien esclave (né en 50 et mort entre 125 et 130) jette les fondations de sa doctrine et de son enseignement. C'est ici, en effet, qu'il prend pour fondement la distinction entre ce qui est en notre pouvoir et ce qui ne l'est pas, critère qui lui permettra par la suite d'explorer une foule de questions d'une surprenante diversité. À l'instar de Socrate, Épictète interroge sans relâche. Comme lui, il ne laissa aucun écrit. Nous devons aux soins de son disciple Arrien d'avoir consigné dans les quatre livres des Entretiens les cours et les conférences de son maître. La pensée de ce grand sage stoïcien, profondément pragmatique, est un modèle de philosophie pratique. Désireux de nous guider vers le contentement intérieur, il nous montre comment combattre les difficultés et nous invite à nous affranchir à notre tour afin d'accéder à la véritable liberté. Par ses remarques et ses questions vigoureuses, Épictète amène qui sait le lire et l'écouter à résoudr
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 29h. 26min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 19110
Résumé:La nouveauté de la philosophie kantienne, que son auteur appelle philosophie transcendantale, est de s'occuper "moins des objets que de nos concepts a priori des objets". Qualifié d'ouvrage le plus génial et le plus contradictoire de toute la littérature philosophique, ce livre a apporté "une définition nouvelle de la vérité. Les choses ne se soumettent à nos idées que parce que l'esprit leur impose ses cadres"